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La passion de Léonard pour le domaine aquatique est pour lui une source d'inspiration. A son époque, lorsqu'elle est possible, les navigations maritimes et fluviales constituent le moyen de transport le plus rapide. Les grandes villes, telles que Florence, qui étaient dépourvues de voies navigables majeures (rivières importantes ou fleuves) étaient fortement affectées par ce manque. Les ingénieurs de la Renaissance tentèrent donc de concevoir des navires capables de se déplacer sur les cours d'eau moins importants. Léonard de Vinci fut le premier à élaborer les plans de constructions d'un bateau permettent de réussir des trajets dans ces voies étroites. En effet le bateau à aubes qu'il dota d'un mécanisme permettant la mise en mouvement de celui-ci grâce à la seule force humaine qu'il considère infinie fut une de ses principales créations aquatiques.
Vers 1487, Leonard entreprend donc la réalisation d’un bateau a aubes pouvant contenir plus ou moins de passager selon sa taille et sa puissance.
Le principe de mise en route du mécanisme de propulsion est en fait assez proche des actuels steppers.
Un ou plusieurs hommes appuient sur la pédale de gauche qui entraine une courroie elle-même permettant au mécanisme central d’entrer en rotation. Grace à un mécanisme d’engrenage, le mouvement est transmis au mécanisme latéral droit qui transmet l’énergie rotative du disque à l’essieu qui ainsi entraine l’aube.
Ensuite, une ou plusieurs hommes appuient sur la pédale de droite et le système de gauche entre en mouvement. Grace à un mécanisme de ressort, Leonard permet l’alternance de la solidarité des mécanismes latéraux avec le mécanisme central. Évitant ainsi au bateau de tourner sur lui-même.
L'une des préoccupations de Léonard est de pousser les limites de l'être humain à leur maximum. Pour cela, il utilisa un système d'engrenage permettant de multiplier les effets des efforts fournis par les personnes actionnant les planches permettant au bateau d'avancer.
Le nombre de dents de chacune des roues influe directement sur cette multiplication selon l'équation suivant:
Facteur de multiplication = Nombre de dents de la roue d'entré
Nombre de dents de la roue de sortie
Par exemple, si la roue d'entrée a 100 dents et la roue de sortie en a 50, la vitesse de la petite roue est deux fois plus rapide que celle de la grande, ce qui augmente la vitesse finale par 2 également.
De plus, Léonard étudia la forme des aubes afin que celles-ci puissent fournir le plus de vitesse en utilisant le moins d'énergie, afin de fatiguer le moins possible ceux qui les actionnaient.
Vers 1487, Leonard entreprend donc la réalisation d’un bateau a aubes pouvant contenir plus ou moins de passager selon sa taille et sa puissance.
Le principe de mise en route du mécanisme de propulsion est en fait assez proche des actuels steppers.
Un ou plusieurs hommes appuient sur la pédale de gauche qui entraine une courroie elle-même permettant au mécanisme central d’entrer en rotation. Grace à un mécanisme d’engrenage, le mouvement est transmis au mécanisme latéral droit qui transmet l’énergie rotative du disque à l’essieu qui ainsi entraine l’aube.
Ensuite, une ou plusieurs hommes appuient sur la pédale de droite et le système de gauche entre en mouvement. Grace à un mécanisme de ressort, Leonard permet l’alternance de la solidarité des mécanismes latéraux avec le mécanisme central. Évitant ainsi au bateau de tourner sur lui-même.
L'une des préoccupations de Léonard est de pousser les limites de l'être humain à leur maximum. Pour cela, il utilisa un système d'engrenage permettant de multiplier les effets des efforts fournis par les personnes actionnant les planches permettant au bateau d'avancer.
Le nombre de dents de chacune des roues influe directement sur cette multiplication selon l'équation suivant:
Facteur de multiplication = Nombre de dents de la roue d'entré
Nombre de dents de la roue de sortie
Par exemple, si la roue d'entrée a 100 dents et la roue de sortie en a 50, la vitesse de la petite roue est deux fois plus rapide que celle de la grande, ce qui augmente la vitesse finale par 2 également.
De plus, Léonard étudia la forme des aubes afin que celles-ci puissent fournir le plus de vitesse en utilisant le moins d'énergie, afin de fatiguer le moins possible ceux qui les actionnaient.
