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Dans les recueils de Léonard référant à cette machine, les dessins apparaissent de qualité inférieure à celle des autres recueils. Des hypothèses quant à l'originalité des dessins furent émises. Néanmoins, les dessins sont bien de Léonard de Vinci mais pas l'idée : il a repris un principe déjà appliqué afin de le moderniser.
La partie supérieure de la machine, composée d'un chariot et d'une rainure, tire le tronc de l'arbre de façon à ce qu'il puisse être coupé. Une crémaillère reliée à des poulies permet le déplacement progressif et semi automatique du chariot au fur et à mesure de la coupe.
Une roue munie de codets est actionnée par le courant de l'eau circulant dans la rigole prévue à cet effet. La roue fournie alors un mouvement rotatif à un essieu qui transmet le mouvement aux autres mécanismes. Grâce à un vilebrequin, le mouvement rotatif, devient linéaire et actionne la scie, lui conférant un mouvement de va-et-vient. Un système de poulie et une crémaillère permettent l'enroulement d'un câble qui fait avancer le chariot sur lequel se trouve la pièce à découper.
Lors de l'élaboration de cette machine, Léonard dû prendre en compte les différents paramètres de résistance des matériaux utilisés, qu'il mit en relation avec la puissance du débit de l'eau circulant dans la rigole. En effet la mise en mouvement du système produit une certaine énergie libérée sous forme de chaleur. Le bois étant mauvais conducteur de la chaleur, celle-ci s'accumule en un point donné, ce qui pourrait provoquer l'apparition de flamme à cause de l'échauffement engendré. C'est en quelque sorte une application du principe de mise à feu par friction.de la friction. Or, plus le courant est fort, plus le mouvement est rapide, et donc plus la chaleur est élevée.
La partie supérieure de la machine, composée d'un chariot et d'une rainure, tire le tronc de l'arbre de façon à ce qu'il puisse être coupé. Une crémaillère reliée à des poulies permet le déplacement progressif et semi automatique du chariot au fur et à mesure de la coupe.
Une roue munie de codets est actionnée par le courant de l'eau circulant dans la rigole prévue à cet effet. La roue fournie alors un mouvement rotatif à un essieu qui transmet le mouvement aux autres mécanismes. Grâce à un vilebrequin, le mouvement rotatif, devient linéaire et actionne la scie, lui conférant un mouvement de va-et-vient. Un système de poulie et une crémaillère permettent l'enroulement d'un câble qui fait avancer le chariot sur lequel se trouve la pièce à découper.
Lors de l'élaboration de cette machine, Léonard dû prendre en compte les différents paramètres de résistance des matériaux utilisés, qu'il mit en relation avec la puissance du débit de l'eau circulant dans la rigole. En effet la mise en mouvement du système produit une certaine énergie libérée sous forme de chaleur. Le bois étant mauvais conducteur de la chaleur, celle-ci s'accumule en un point donné, ce qui pourrait provoquer l'apparition de flamme à cause de l'échauffement engendré. C'est en quelque sorte une application du principe de mise à feu par friction.de la friction. Or, plus le courant est fort, plus le mouvement est rapide, et donc plus la chaleur est élevée.
